
Il est environ 18 heures lorsque la responsable de la boutique Grain de folie, située à la rue Montravel, reçoit un coup de fil des plus inattendus. Il s’agit en effet d’un officier de la gendarmerie nationale qui lui demande si un jeune homme, dont il lui fait la description, se trouve bien à l’intérieur du magasin. Le jeune homme en question est l’un des auteurs présumés du braquage perpétré quelques semaines auparavant, à la bijouterie l’Orpailleur, qui se trouve dans cette même rue, ainsi que de celui d’une épicerie chinoise, la veille, au cours duquel le commerçant a été blessé à la tête.
Pour l’heure, ce jeune homme, pas le moins du monde menaçant, ni même louche, est tranquillement en train de choisir des vêtements, il a d’ailleurs déjà payé la chemise qu’il porte et s’apprête à en essayer une autre.
Alors que l’individu a été repéré par les gendarmes, le quartier est déjà cadenassé et des hommes placés à des points stratégiques afin de prévenir toute tentative de fuite du suspect.
Suivant les consignes des gendarmes, les deux vendeuses et la jeune fille qui effectue un stage dans la boutique quittent discrètement les lieux, mais s’aperçoivent une fois dehors qu’elles ont oublié un stagiaire à l’intérieur.
Intrigué par l’absence soudaine des jeunes femmes, le « client » s’inquiète et le jeune stagiaire décide de sortir pour voir ce qui se passe. Il est alors appréhendé par les gendarmes qui le prennent malencontreusement pour leur suspect, devant les badauds amassés derrière les barricades, aux deux extrémités de la rue et qui retiennent leur souffle devant ce dénouement.
S’étant rendus compte de leur méprise, les gendarmes somment le vrai suspect, encore dans la boutique, de sortir dans la rue pour se rendre. Ils finissent par pénétrer dans le magasin où ils appréhendent le jeune homme alors qu’il tente de s’enfuir par le plafond de l’arrière-boutique. Son arme, bien réelle contrairement à ce qui a été dit dans les médias, sera retrouvée plus tard, cachée dans une boîte de chaussures.
Ses complices des braquages sont quant à eux, encore en fuite.
Les gendarmes ont procédé aux auditions des vendeuses de la boutique, encore sous le choc de cette après-midi pas comme les autres qu’elles ne sont pas prêtes d’oublier.
Pour l’heure, ce jeune homme, pas le moins du monde menaçant, ni même louche, est tranquillement en train de choisir des vêtements, il a d’ailleurs déjà payé la chemise qu’il porte et s’apprête à en essayer une autre.
Alors que l’individu a été repéré par les gendarmes, le quartier est déjà cadenassé et des hommes placés à des points stratégiques afin de prévenir toute tentative de fuite du suspect.
Suivant les consignes des gendarmes, les deux vendeuses et la jeune fille qui effectue un stage dans la boutique quittent discrètement les lieux, mais s’aperçoivent une fois dehors qu’elles ont oublié un stagiaire à l’intérieur.
Intrigué par l’absence soudaine des jeunes femmes, le « client » s’inquiète et le jeune stagiaire décide de sortir pour voir ce qui se passe. Il est alors appréhendé par les gendarmes qui le prennent malencontreusement pour leur suspect, devant les badauds amassés derrière les barricades, aux deux extrémités de la rue et qui retiennent leur souffle devant ce dénouement.
S’étant rendus compte de leur méprise, les gendarmes somment le vrai suspect, encore dans la boutique, de sortir dans la rue pour se rendre. Ils finissent par pénétrer dans le magasin où ils appréhendent le jeune homme alors qu’il tente de s’enfuir par le plafond de l’arrière-boutique. Son arme, bien réelle contrairement à ce qui a été dit dans les médias, sera retrouvée plus tard, cachée dans une boîte de chaussures.
Ses complices des braquages sont quant à eux, encore en fuite.
Les gendarmes ont procédé aux auditions des vendeuses de la boutique, encore sous le choc de cette après-midi pas comme les autres qu’elles ne sont pas prêtes d’oublier.