
« Allamanda, l’enfant qui n’existait pas » est le titre du conte musical présenté par les élèves, le samedi 18 juin 2005 dans la salle du Toucan, mettant en valeur la flore et les danses folkloriques de Guyane.
C’est sous la direction de l’équipe pédagogique, des intervenants de l’école de musique Charles VALOGNE, Daniel MEINART et du conseiller pédagogique de la circonscription, Jérôme HO SUI LING, que ce projet a pu aboutir.
C’est l’histoire d’une petite fille qui reste seule dans son coin car personne ne joue avec elle.
Les autres enfants qui s’amusent entre eux se moquent de « son prénom » lorsque celle-ci dit s’appeler « Allamanda ».
Mais, ils découvrent ensuite qu’ « Allamanda » n’est autre que le nom d’une fleur de Guyane.
Au cours du spectacle, des groupes d’enfants vont tour à tour lui offrir des fleurs : une allamanda, fleur qui porte son nom ; un balizyé, pour lui redonner le sourire ; un anthurium pour lui redonner de l’amour ; une belle de nuit pour lui redonner des couleurs ; une rose de porcelaine pour lui donner l’envie de rire ; un ti lis jon pour qu’elle se mette enfin à chanter.
Chaque classe a pu évoluer sur différentes danses folkloriques comme le grajé, le lérol, le grajé-valse, le camougué, le bélya et le moulala.
C’est dans la joie que tous les élèves ont dansé, chanté avec la belle Allamanda, heureuse d’avoir un nom et une identité.
Et, c’est avec des yeux éblouis que les parents ont vu évoluer leurs enfants sur la scène du Toucan, sans stress et surtout heureux de leur offrir un beau spectacle.
Trop court, ont dit certains, mais avant tout, fiers de la prestation de leurs bambins !
C’est sous la direction de l’équipe pédagogique, des intervenants de l’école de musique Charles VALOGNE, Daniel MEINART et du conseiller pédagogique de la circonscription, Jérôme HO SUI LING, que ce projet a pu aboutir.
C’est l’histoire d’une petite fille qui reste seule dans son coin car personne ne joue avec elle.
Les autres enfants qui s’amusent entre eux se moquent de « son prénom » lorsque celle-ci dit s’appeler « Allamanda ».
Mais, ils découvrent ensuite qu’ « Allamanda » n’est autre que le nom d’une fleur de Guyane.
Au cours du spectacle, des groupes d’enfants vont tour à tour lui offrir des fleurs : une allamanda, fleur qui porte son nom ; un balizyé, pour lui redonner le sourire ; un anthurium pour lui redonner de l’amour ; une belle de nuit pour lui redonner des couleurs ; une rose de porcelaine pour lui donner l’envie de rire ; un ti lis jon pour qu’elle se mette enfin à chanter.
Chaque classe a pu évoluer sur différentes danses folkloriques comme le grajé, le lérol, le grajé-valse, le camougué, le bélya et le moulala.
C’est dans la joie que tous les élèves ont dansé, chanté avec la belle Allamanda, heureuse d’avoir un nom et une identité.
Et, c’est avec des yeux éblouis que les parents ont vu évoluer leurs enfants sur la scène du Toucan, sans stress et surtout heureux de leur offrir un beau spectacle.
Trop court, ont dit certains, mais avant tout, fiers de la prestation de leurs bambins !
