
Mardi 24 juillet dernier, vers 16 heures dans l’après-midi. Sur le plateau omnisports municipal, la diffusion de titres musicaux phares du moment donnaient un air festif à la place. Message diffusé sur les radios notamment, la nouvelle avait inondé Awala-Yalimapo et ses environs, Mana et même Saint Laurent du Maroni. En effet, les spectateurs étaient nombreux à avoir fait le déplacement à I’annonce de la visite d’un grand basketteur professionnel évoluant en pro A. Il y a quelques jours encore, personne ne pouvait imaginer Steeve Essart, évoluant au sein de l’équipe de Gravelines en métropole à Awala-Yalimapo (voir galerie photos en cliquant ici.
Il était accueilli par Félix Tiouka, premier adjoint au Maire d’Awala-Yalimapo. Après une brève visite de la commune et des retrouvailles familiales pleines d’émotion, Steeve Essart avait rendez-vous avec la jeunesse et le public sur le plateau omnisports municipal.
Au micro, avec des mots simples, il expliquait combien il est heureux, après quelques années, de revenir à Awala-Yalimapo, parmi les siens.
« Je m’appelle Steeve Essart, ma mère est amérindienne Kali’na de la région d’Iracoubo. Je suis parti très jeune. J’ai commencé à jouer à Levallois où je suis resté 5 ans, puis ensuite je suis parti à Châlons en Champagne en Pro B afin de faire mes gammes pendant 3 ans puis je suis allé à Bourg en Bresse 2 ans pour mes début en Pro A, Cholet puis Gravelines » dit-il en substance.
« Je viens aussi me ressourcer ici, avec vous et parmi vous afin que je puisse appréhender les grands évènements sportifs de la rentrée avec force mais aussi avec des valeurs que je ne retrouve pas forcement là ou je vis », confie Steeve Essart au public. Le chemin semble encore long pour ce jeune sportif dont le plus dur reste très certainement à faire « Monter au plus sommet du basket mondial ».
Il était accueilli par Félix Tiouka, premier adjoint au Maire d’Awala-Yalimapo. Après une brève visite de la commune et des retrouvailles familiales pleines d’émotion, Steeve Essart avait rendez-vous avec la jeunesse et le public sur le plateau omnisports municipal.
Au micro, avec des mots simples, il expliquait combien il est heureux, après quelques années, de revenir à Awala-Yalimapo, parmi les siens.
« Je m’appelle Steeve Essart, ma mère est amérindienne Kali’na de la région d’Iracoubo. Je suis parti très jeune. J’ai commencé à jouer à Levallois où je suis resté 5 ans, puis ensuite je suis parti à Châlons en Champagne en Pro B afin de faire mes gammes pendant 3 ans puis je suis allé à Bourg en Bresse 2 ans pour mes début en Pro A, Cholet puis Gravelines » dit-il en substance.
« Je viens aussi me ressourcer ici, avec vous et parmi vous afin que je puisse appréhender les grands évènements sportifs de la rentrée avec force mais aussi avec des valeurs que je ne retrouve pas forcement là ou je vis », confie Steeve Essart au public. Le chemin semble encore long pour ce jeune sportif dont le plus dur reste très certainement à faire « Monter au plus sommet du basket mondial ».

Après ces quelques mots remplis de sincérité, la place était à la vedette, le ballon rond. Entouré par de nombreux enfants, le basketteur leur expliquait les techniques de tenue de ballon ainsi que les bases du jeu. Il leur confiait pratiquement dans le creux de l’oreille « Ici, je me sens dans ma famille et nous allons partager ensemble un des moments fort de ma vie de basketteur car j’ai commencé comme vous ». Il passera une bonne heure avec eux, tous émerveillés par la simplicité et le charisme du champion de basket qu’ils semblaient désormais considérer comme un « grand frère ».
Il est allé ensuite à la rencontre des plus grands, ceux qui pratiquent le « Play ground » car eux aussi tenaient à faire partie de cette fête du basket. Après quelques échanges et discussions tournant bien évidemment autour de la carrière du basketteur de Gravelines, c’est un match 3 contre 3 qui est réclamé par le public.
Steeve Essart y répond favorablement et s’est octroyé les services de deux passionnés du basket ayant fait le déplacement de Saint-Laurent du Maroni. Face à ce trio, Karl, Harry et David, véritables mordus du basket d’Awala-Yalimapo.
Paul Ho Kong Tia, adjoint au Maire de Saint-Laurent du Maroni, délégué aux sports était également présent et n’a pas manqué pas de saluer la performance du jeune sportif guyanais.
Pour Félix Tiouka, premier adjoint au Maire d’Awala-Yalimapo « La municipalité a tenu à réaliser cette opération car elle est ambitieuse d’ouvrir pour sa jeunesse, les portes de la tolérance et de la solidarité sportive ».
Il est allé ensuite à la rencontre des plus grands, ceux qui pratiquent le « Play ground » car eux aussi tenaient à faire partie de cette fête du basket. Après quelques échanges et discussions tournant bien évidemment autour de la carrière du basketteur de Gravelines, c’est un match 3 contre 3 qui est réclamé par le public.
Steeve Essart y répond favorablement et s’est octroyé les services de deux passionnés du basket ayant fait le déplacement de Saint-Laurent du Maroni. Face à ce trio, Karl, Harry et David, véritables mordus du basket d’Awala-Yalimapo.
Paul Ho Kong Tia, adjoint au Maire de Saint-Laurent du Maroni, délégué aux sports était également présent et n’a pas manqué pas de saluer la performance du jeune sportif guyanais.
Pour Félix Tiouka, premier adjoint au Maire d’Awala-Yalimapo « La municipalité a tenu à réaliser cette opération car elle est ambitieuse d’ouvrir pour sa jeunesse, les portes de la tolérance et de la solidarité sportive ».
