Ce week-end l’art était à l’honneur au Camp de la Transportation avec la « réalisation partagée » proposée par Ks&Co, restitution des stagiaires comédiens et techniciens du théâtre Ecole Kokolampoe, puis le vernissage de l’exposition évènement « Rétrospective1982-2012 » de l’œuvre de l’artiste John LIE A FO, présentée par le service patrimoine.
Cette soirée du vendredi n’était que le début d’un long week-end dédié à l’art qui s’est poursuivi samedi et dimanche à Angoulême, à l’initiative de l’association Chercheurs d’art.
En effet de nombreux acteurs du monde des arts plastiques en Guyane, artistes, étudiants, partenaires institutionnels et invités se sont retrouvés dans le cadre exceptionnel des jardins d’Angoulême, au bord de la Mana, accueillis dans deux grands carbets par Maryse BUIRA, la maîtresse des lieux.
Cette soirée du vendredi n’était que le début d’un long week-end dédié à l’art qui s’est poursuivi samedi et dimanche à Angoulême, à l’initiative de l’association Chercheurs d’art.
En effet de nombreux acteurs du monde des arts plastiques en Guyane, artistes, étudiants, partenaires institutionnels et invités se sont retrouvés dans le cadre exceptionnel des jardins d’Angoulême, au bord de la Mana, accueillis dans deux grands carbets par Maryse BUIRA, la maîtresse des lieux.
Le but était d’abord de tisser des liens entre les intéressés, puis de confirmer une dynamique artistique déjà bien engagée sur Saint Laurent et plus largement sur l’ouest guyanais ; il s’agissait enfin de consolider les actions et les expérimentations menées ces dernières années en matière d’arts visuels. Et c’est en présence de l’IPR d’arts plastiques, M. Frédéric LEVAL (détaché de l’académie d’Orléans –Tours) que ces discussions se sont organisées.
C’était également l’occasion pour les membres de l’association Chercheurs d’art de présenter le projet « Kimboto », une résidence d’artistes basée sur le domaine d’Angoulême, en plein cœur de la forêt. Eloïse LEGALLU, Caroline MAILLY et Sébastien HAMIDECHE, trois étudiants de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris, sont en effet présents durant quinze jours afin de proposer une réflexion autour de la dépouille d’un arbre gigantesque et mystérieux, « Kimboto », gardien de l’entrée d’Angoulême, victime d’un fort coup de vent, et dont on ne sait en définitive pas grand-chose …
Membres du collectif Terreau, ces jeunes artistes n’en sont pas à leur première rencontre en terre de Guyane : une belle histoire avec les potières amérindiennes Kali ‘na de Mana s’est engagée depuis un premier voyage d’étude l’an dernier.
C’était également l’occasion pour les membres de l’association Chercheurs d’art de présenter le projet « Kimboto », une résidence d’artistes basée sur le domaine d’Angoulême, en plein cœur de la forêt. Eloïse LEGALLU, Caroline MAILLY et Sébastien HAMIDECHE, trois étudiants de l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux Arts de Paris, sont en effet présents durant quinze jours afin de proposer une réflexion autour de la dépouille d’un arbre gigantesque et mystérieux, « Kimboto », gardien de l’entrée d’Angoulême, victime d’un fort coup de vent, et dont on ne sait en définitive pas grand-chose …
Membres du collectif Terreau, ces jeunes artistes n’en sont pas à leur première rencontre en terre de Guyane : une belle histoire avec les potières amérindiennes Kali ‘na de Mana s’est engagée depuis un premier voyage d’étude l’an dernier.