
Patrick Velaye s’en est allé. Il a tiré sa révérence et est parti vers d’autres horizons. La nouvelle nous a laissés sans voix, hébétés par le choc et l’affreux sentiment de ne peut-être pas avoir fait ce qu’il fallait au moment où il le fallait.
Impossible de parler de Patrick sans évoquer son côté épicurien, son plaisir à faire la fête, son amour de la couture, son immense gentillesse et sa sensibilité à fleur de peau.
C’était un homme actif, jamais avare de son temps et toujours prêt à apporter son aide, son investissement dans le monde associatif en était la première preuve. Il était comme ça.
Impossible de parler de Patrick sans évoquer son côté épicurien, son plaisir à faire la fête, son amour de la couture, son immense gentillesse et sa sensibilité à fleur de peau.
C’était un homme actif, jamais avare de son temps et toujours prêt à apporter son aide, son investissement dans le monde associatif en était la première preuve. Il était comme ça.

En voyage en Afrique
Le carnaval, avec son cortège de robes de touloulous et de costumes de toutes sortes, était une période de l’année où il régnait en véritable roi. Dans sa chambre encombrée de tissus et d’accessoires, tout se transformait comme par magie sous ses doigts pour ressembler aux modèles dont nous avions rêvé.
Pas un bal du samedi soir sans lui, pas un dimanche sans qu’il ne défile dans les rues de St-Laurent. Patrick aimait la vie.
Pas un bal du samedi soir sans lui, pas un dimanche sans qu’il ne défile dans les rues de St-Laurent. Patrick aimait la vie.
Nous garderons de lui l’image d’un bon vivant, d’un homme enthousiaste, heureux comme il l’était au retour de son voyage en Afrique, toujours prompt à nous faire rire. Nous préfèrerons oublier les périodes plus difficiles, quand l’angoisse l’envahissait et que nous nous sentions impuissants à l’aider à lutter contre ses démons.
C’est vrai, c’est plus dur pour ceux qui restent. Où que tu sois maintenant, c’est sûr Patrick, tu nous manqueras. Salut l’artiste !
C’est vrai, c’est plus dur pour ceux qui restent. Où que tu sois maintenant, c’est sûr Patrick, tu nous manqueras. Salut l’artiste !

Dans les années 80