
Le tourisme durable est le fruit d'efforts permanents de tous les acteurs concernés, afin de satisfaire, au plus haut niveau possible, les touristes, tout en leur faisant prendre davantage conscience, des problèmes de durabilité.
Le tourisme durable est une idée forte, régulièrement développée par Léon Bertrand, Ministre Délégué au tourisme, Maire de Saint Laurent du Maroni. C’est pourquoi, un Diplôme Universitaire de 3ème cycle « Management de la Culture et Développement des activités touristiques durables » est crée à Saint Laurent du Maroni.
Plate-forme européenne pour les pays d'Amérique du Sud, la Guyane ambitionne de proposer des services qui constitueront autant de passerelles possibles avec d'autres régions du monde en général , et du continent américain en particulier.
L’Ouest guyanais est en plein essor économique. L’ensemble des secteurs d’activités connaît une croissance qui suit de près la très forte progression démographique.
Pour faire face au défi qui lui est posé, cette région du monde, ce département français, innove, entreprend et génère ainsi de nombreux projets qui lui confèrent un profil très dynamique.
Conscient de la réalité précédemment évoquée, l’Ouest guyanais s’est positionné dans ce dispositif en engageant de très grandes opérations à caractère touristique, culturel et économique.
Le tourisme durable est une idée forte, régulièrement développée par Léon Bertrand, Ministre Délégué au tourisme, Maire de Saint Laurent du Maroni. C’est pourquoi, un Diplôme Universitaire de 3ème cycle « Management de la Culture et Développement des activités touristiques durables » est crée à Saint Laurent du Maroni.
Plate-forme européenne pour les pays d'Amérique du Sud, la Guyane ambitionne de proposer des services qui constitueront autant de passerelles possibles avec d'autres régions du monde en général , et du continent américain en particulier.
L’Ouest guyanais est en plein essor économique. L’ensemble des secteurs d’activités connaît une croissance qui suit de près la très forte progression démographique.
Pour faire face au défi qui lui est posé, cette région du monde, ce département français, innove, entreprend et génère ainsi de nombreux projets qui lui confèrent un profil très dynamique.
Conscient de la réalité précédemment évoquée, l’Ouest guyanais s’est positionné dans ce dispositif en engageant de très grandes opérations à caractère touristique, culturel et économique.

La ville de Saint Laurent du Maroni porte à elle seule pour les deux années à venir les opérations suivantes :
• Construction d’un grand complexe hôtelier dont le concept s’articule autour du tourisme durable.
• Mise en place d’un Etablissement public de coopération culturelle (EPCC) pour gérer l’ensemble des activités culturelles.
• Ouverture en 2007-2008 d’un Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (CIAP) dans la suite logique de l’obtention du label «Ville d’Art et d’Histoire».
• Dépôt de candidature pour le label « Centre culturel de rencontre » (CCR). Le camp de la transportation héberge actuellement une association dénommée « Centre Culturel Transamazonien » qui draine avec elle de nombreux projets culturels, notamment à vocation musicale. La forte
dimension patrimoniale de cet espace associée à une politique culturelle qui se verra renforcée avec la création de l’EPCC répond bien au cahier des charges pour la création d’un CCR.
• Implantation dans les douze mois d’un projet touristique qui mise sur la « formule africaine » des lodges. Orientée sur le tourisme vert, voulant exploiter les fabuleuses richesses de la forêt amazonienne, l’opération est prometteuse.
A ces différents projets, la ville de Saint Laurent du Maroni et la région de l’Ouest guyanais associent le développement technologique. Les outils visant à faciliter la communication ou les transports sont aujourd’hui en place ou en voie de l’être : Internet à haut débit est accessible partout en ville et une desserte aérienne entre Cayenne et Saint Laurent du Maroni va s’ouvrir prochainement.
• Construction d’un grand complexe hôtelier dont le concept s’articule autour du tourisme durable.
• Mise en place d’un Etablissement public de coopération culturelle (EPCC) pour gérer l’ensemble des activités culturelles.
• Ouverture en 2007-2008 d’un Centre d’interprétation de l’architecture et du patrimoine (CIAP) dans la suite logique de l’obtention du label «Ville d’Art et d’Histoire».
• Dépôt de candidature pour le label « Centre culturel de rencontre » (CCR). Le camp de la transportation héberge actuellement une association dénommée « Centre Culturel Transamazonien » qui draine avec elle de nombreux projets culturels, notamment à vocation musicale. La forte
dimension patrimoniale de cet espace associée à une politique culturelle qui se verra renforcée avec la création de l’EPCC répond bien au cahier des charges pour la création d’un CCR.
• Implantation dans les douze mois d’un projet touristique qui mise sur la « formule africaine » des lodges. Orientée sur le tourisme vert, voulant exploiter les fabuleuses richesses de la forêt amazonienne, l’opération est prometteuse.
A ces différents projets, la ville de Saint Laurent du Maroni et la région de l’Ouest guyanais associent le développement technologique. Les outils visant à faciliter la communication ou les transports sont aujourd’hui en place ou en voie de l’être : Internet à haut débit est accessible partout en ville et une desserte aérienne entre Cayenne et Saint Laurent du Maroni va s’ouvrir prochainement.

Pour les 23 étudiants de cette promotion, la rentrée universitaire s’est déroulée ce lundi 16 octobre.
Pour les cours, la SENOG met à disposition du projet une salle de formation équipée de tous les supports.
Par ailleurs, considérant que les étudiants vont devoir séjourner sur place pendant la durée du 3ème cycle (soit environ neuf mois), un hébergement est proposé à l’ancien hôtel GALIBI, pour ceux en provenance de métropole, de Colombie, du Brésil et de Cayenne.
La prise en charge des frais pédagogiques sera assurée la première année par la Société d'Economie Mixte du Nord-Ouest guyanais (SENOG), qui, dans le cadre de sa politique d’aide au développement de l’Ouest guyanais, intervient pour soutenir le lancement de l’opération.
Ainsi, l’Université de Paris Dauphine, la ville de Saint-Laurent du Maroni et la SENOG ont activement contribué à la naissance de l’enseignement supérieur sur un territoire très prometteur pour les années à venir. La création de ce diplôme est le fruit d’une collaboration étroite entre ces trois partenaires.
Principalement basés sur un constat économique, s’appuyant lui-même sur des indicateurs de développement, les contenus de la formation sont très différents de ceux figurant dans les cursus déjà existants.
Les richesses naturelles de la Guyane ouvrent la voie à la mise en place d’une offre professionnalisante visant à préparer des responsables opérationnels du tourisme alternatif ainsi que de la Culture, dans la gestion environnementale, la valorisation patrimoniale et les projets culturels.
Ce sont, notamment, des agents de développement du tourisme durable qu’il faudra former.
Le diplôme universitaire est organisé autour d'un tronc commun qui débouche sur deux options possibles : Management de la culture ou Développement des activités touristiques durables, chaque enseignement comportant 19 heures de cours.
Un stage et un mémoire de fin d’étude complètent ces enseignements.
Pour les cours, la SENOG met à disposition du projet une salle de formation équipée de tous les supports.
Par ailleurs, considérant que les étudiants vont devoir séjourner sur place pendant la durée du 3ème cycle (soit environ neuf mois), un hébergement est proposé à l’ancien hôtel GALIBI, pour ceux en provenance de métropole, de Colombie, du Brésil et de Cayenne.
La prise en charge des frais pédagogiques sera assurée la première année par la Société d'Economie Mixte du Nord-Ouest guyanais (SENOG), qui, dans le cadre de sa politique d’aide au développement de l’Ouest guyanais, intervient pour soutenir le lancement de l’opération.
Ainsi, l’Université de Paris Dauphine, la ville de Saint-Laurent du Maroni et la SENOG ont activement contribué à la naissance de l’enseignement supérieur sur un territoire très prometteur pour les années à venir. La création de ce diplôme est le fruit d’une collaboration étroite entre ces trois partenaires.
Principalement basés sur un constat économique, s’appuyant lui-même sur des indicateurs de développement, les contenus de la formation sont très différents de ceux figurant dans les cursus déjà existants.
Les richesses naturelles de la Guyane ouvrent la voie à la mise en place d’une offre professionnalisante visant à préparer des responsables opérationnels du tourisme alternatif ainsi que de la Culture, dans la gestion environnementale, la valorisation patrimoniale et les projets culturels.
Ce sont, notamment, des agents de développement du tourisme durable qu’il faudra former.
Le diplôme universitaire est organisé autour d'un tronc commun qui débouche sur deux options possibles : Management de la culture ou Développement des activités touristiques durables, chaque enseignement comportant 19 heures de cours.
Un stage et un mémoire de fin d’étude complètent ces enseignements.