
Un nom hante l’Amérique latine : celui d’Hugo Chávez. Ce commandant, auteur, en 1992, d’une tentative de coup d’Etat, a été élu président du Venezuela en décembre 1998. Dès sa prise de fonctions, comme il l’avait annoncé, M. Chávez, soutenu par les forces de gauche et par les déshérités, a entrepris une « révolution pacifique et démocratique » qui inquiète les propagandistes de la mondialisation.
Cette volonté de tout changer traduit l’exaspération d’une majorité de citoyens devant la gabegie et la corruption qui ont régné en maître durant quarante ans, et dont portent la responsabilité les deux partis s’étant partagé le pouvoir : Action démocratique (AD), socialdémocrate, et Copei, démocrate-chrétien. Ces formations, dont nul ne nie le caractère démocratique, ont permis l’édification d’une des sociétés les plus corrompues et les plus inégalitaires du monde.
Dans « Une obsession nommée Hugo », le journaliste Jean-Jacques Seymour décrit minutieusement la nature du processus mis en place par le mandataire Vénézuélien pour inverser le cours des choses avec déjà, dans de nombreux secteurs, des résultats tangibles.
Cette volonté de tout changer traduit l’exaspération d’une majorité de citoyens devant la gabegie et la corruption qui ont régné en maître durant quarante ans, et dont portent la responsabilité les deux partis s’étant partagé le pouvoir : Action démocratique (AD), socialdémocrate, et Copei, démocrate-chrétien. Ces formations, dont nul ne nie le caractère démocratique, ont permis l’édification d’une des sociétés les plus corrompues et les plus inégalitaires du monde.
Dans « Une obsession nommée Hugo », le journaliste Jean-Jacques Seymour décrit minutieusement la nature du processus mis en place par le mandataire Vénézuélien pour inverser le cours des choses avec déjà, dans de nombreux secteurs, des résultats tangibles.