Un cas de méningite à méningocoque du groupe C a été diagnostiqué mercredi 23 février au centre hospitalier de Cayenne.
La méningite à méningocoque est une affection bactérienne qui s’exprime classiquement par une forte fièvre, des maux de têtes, une gêne à la lumière, des vomissements importants et une raideur vertébrale.
Le patient a été immédiatement pris en charge et son état de santé s ‘améliore progressivement. Il s’agit d’un enfant de 11 ans scolarisé à l’école Eugène Honorien à Rémire Montjoly.
Les services de santé scolaire, les médecins libéraux, les praticiens du centre hospitalier de Cayenne et les pharmaciens, en coordination l’Agence régionale de Santé, ont d’ores et déjà mis en place la prévention médicamenteuse des personnes ayant été en contact étroit avec ce dernier (voisins de classe, de cantine, de bus, famille vivant sous le même toit, enfant du club de foot et amis très proches).
Seuls les contacts très étroits sont à traiter (inférieur à 1 mètre et prolongés). Les médecins sont seuls à même de juger à l’interrogatoire et sur la base d’un guide de procédure national, l’opportunité de traiter.
La surveillance sur la survenue de cas secondaires restera active jusqu’au 5 mars 2011.
La méningite à méningocoque est une affection bactérienne qui s’exprime classiquement par une forte fièvre, des maux de têtes, une gêne à la lumière, des vomissements importants et une raideur vertébrale.
Le patient a été immédiatement pris en charge et son état de santé s ‘améliore progressivement. Il s’agit d’un enfant de 11 ans scolarisé à l’école Eugène Honorien à Rémire Montjoly.
Les services de santé scolaire, les médecins libéraux, les praticiens du centre hospitalier de Cayenne et les pharmaciens, en coordination l’Agence régionale de Santé, ont d’ores et déjà mis en place la prévention médicamenteuse des personnes ayant été en contact étroit avec ce dernier (voisins de classe, de cantine, de bus, famille vivant sous le même toit, enfant du club de foot et amis très proches).
Seuls les contacts très étroits sont à traiter (inférieur à 1 mètre et prolongés). Les médecins sont seuls à même de juger à l’interrogatoire et sur la base d’un guide de procédure national, l’opportunité de traiter.
La surveillance sur la survenue de cas secondaires restera active jusqu’au 5 mars 2011.