
A deux mois de la date des élections cantonales, des noms de candidats potentiels au siège de conseiller général du canton de St-Laurent du Maroni circulent, mais pour l’heure, seule Marie-Louise NIORD EMIGRE a officiellement annoncé sa candidature.
Riche de l’expérience acquise au cours de ces dernières années dans l’exercices de ses différents mandats en tant que conseillère municipale, vice-présidente du Conseil d’administration du centre hospitalier pendant 12 ans, présidente de la Conférence régionale sanitaire, et dans la pratique quotidienne de sa profession d’infirmière libérale, cette saint-laurentaine de 59 ans, mère de deux enfants, pense avoir acquis aujourd’hui la compétence et la maturité nécessaires à la fonction de conseiller général de la commune.
Bien que se présentant sans étiquette politique, la candidate, ancienne militante du Parti socialiste guyanais, affirme cependant être une femme de gauche.
De par son métier d’infirmière libérale, madame NIORD EMIGRE se sent particulièrement concernée par les questions de la santé, du sanitaire et du social, compétences importantes du Conseil général qui semble avoir certaines difficultés, selon elle, à les assumer dans notre département. Ainsi, la construction d’une Maison de l’enfance à St-Laurent du Maroni, pour une meilleure prévention, lui apparaît comme une priorité et c’est l’une des propositions qu’elle fait dans le volet santé de son programme.
Elle désire également s’atteler à la construction d’infrastructures sportives aptes à accueillir l’importante population scolaire du canton, notamment « une véritable piscine départementale digne de la sous-préfecture ».
Avec des propositions dans les domaines de la santé, de la culture et du sport, de l’économie et de l’aménagement du territoire, Marie-Louise NIORD EMIGRE se définit comme une femme « résolument tournée vers l’avenir » et présente son programme comme « une marche active vers le progrès ». Il lui reste deux mois pour convaincre les électeurs de lui accorder leur confiance.
Riche de l’expérience acquise au cours de ces dernières années dans l’exercices de ses différents mandats en tant que conseillère municipale, vice-présidente du Conseil d’administration du centre hospitalier pendant 12 ans, présidente de la Conférence régionale sanitaire, et dans la pratique quotidienne de sa profession d’infirmière libérale, cette saint-laurentaine de 59 ans, mère de deux enfants, pense avoir acquis aujourd’hui la compétence et la maturité nécessaires à la fonction de conseiller général de la commune.
Bien que se présentant sans étiquette politique, la candidate, ancienne militante du Parti socialiste guyanais, affirme cependant être une femme de gauche.
De par son métier d’infirmière libérale, madame NIORD EMIGRE se sent particulièrement concernée par les questions de la santé, du sanitaire et du social, compétences importantes du Conseil général qui semble avoir certaines difficultés, selon elle, à les assumer dans notre département. Ainsi, la construction d’une Maison de l’enfance à St-Laurent du Maroni, pour une meilleure prévention, lui apparaît comme une priorité et c’est l’une des propositions qu’elle fait dans le volet santé de son programme.
Elle désire également s’atteler à la construction d’infrastructures sportives aptes à accueillir l’importante population scolaire du canton, notamment « une véritable piscine départementale digne de la sous-préfecture ».
Avec des propositions dans les domaines de la santé, de la culture et du sport, de l’économie et de l’aménagement du territoire, Marie-Louise NIORD EMIGRE se définit comme une femme « résolument tournée vers l’avenir » et présente son programme comme « une marche active vers le progrès ». Il lui reste deux mois pour convaincre les électeurs de lui accorder leur confiance.