Depuis plusieurs années maintenant les collégiens de l’Ouest bénéficient d’une intervention sur les risques sexuels, proposée par un animateur du CHOG (service coordination de prévention des risques sexuels) et l’infirmière scolaire de l’établissement. Les thèmes choisis en fonction des niveaux ont permis le programme suivant :
- puberté et parentalité pour les 5°
- parentalité et contraception pour les 4°
- Infections Sexuellement Transmissibles et lutte contre l’homophobie pour les 3°
C’est ainsi que les 8 classes de 3° du collège E. Tell Eboué ont débattu la semaine dernière durant 2 heures consacrées à l’éducation à la sexualité.
M. Pascal Sele, animateur du CHOG, et Mmes Nathalie Huteau, Sophie Vermote (infirmières scolaires) et Lucile Martinez (assistante sociale) ont modéré les échanges parfois vifs, entre les garçons et les filles notamment. Les confidences étaient parfois timides, mais les interrogations réelles.
L’actualité du mariage pour tous a suscité bien des réactions chez ces adolescents et le rejet de l’homosexualité était parfois très net. Mais au-delà des représentations mentales de la sexualité chez ces élèves, ce sont des problèmes de société cruciaux qui ont été soulevés : l’altérité (rapport entre les garçons et les filles), les moyens de contraception, la pornographie (qui semble devenir la norme chez certains adolescents) ou la prostitution juvénile de mineurs (suite à un rapport alarmant sur l’ouest paru il y a quelques années).
Selon les observateurs, la conscience du danger et les pratiques sexuelles évoluent chez les adolescents, qui ne souhaitent pourtant qu’une chose : vivre une sexualité épanouie.
- puberté et parentalité pour les 5°
- parentalité et contraception pour les 4°
- Infections Sexuellement Transmissibles et lutte contre l’homophobie pour les 3°
C’est ainsi que les 8 classes de 3° du collège E. Tell Eboué ont débattu la semaine dernière durant 2 heures consacrées à l’éducation à la sexualité.
M. Pascal Sele, animateur du CHOG, et Mmes Nathalie Huteau, Sophie Vermote (infirmières scolaires) et Lucile Martinez (assistante sociale) ont modéré les échanges parfois vifs, entre les garçons et les filles notamment. Les confidences étaient parfois timides, mais les interrogations réelles.
L’actualité du mariage pour tous a suscité bien des réactions chez ces adolescents et le rejet de l’homosexualité était parfois très net. Mais au-delà des représentations mentales de la sexualité chez ces élèves, ce sont des problèmes de société cruciaux qui ont été soulevés : l’altérité (rapport entre les garçons et les filles), les moyens de contraception, la pornographie (qui semble devenir la norme chez certains adolescents) ou la prostitution juvénile de mineurs (suite à un rapport alarmant sur l’ouest paru il y a quelques années).
Selon les observateurs, la conscience du danger et les pratiques sexuelles évoluent chez les adolescents, qui ne souhaitent pourtant qu’une chose : vivre une sexualité épanouie.