Tracé. Ecrire ce qui nous venait tout naturellement à l’esprit. L’inspiration en était le moteur. Comment s’exprimer ? Le Mayouri Tracé doit prendre forme : « Variations littéraires » en est le résultat. Une variété de textes, un recueil de 16 récits sous diverses formes.
La couverture :
L’illustration de 3 générations de femmes. Assises devant la porte de la petite maisonnée, contemporaine, typiquement guyanaise. Le décor est planté. Tout un symbole. L’oralité, l’écrit, l’envie de savoir.
La quatrième de couverture :
Le lecteur est invité à découvrir cet ouvrage, un layon littéraire tracé dans l’imaginaire guyanais. A travers l’Histoire, les faits, les évènements, les récits, les contes, les dolos, le folklore, les auteurs ont trouvé leur inspiration faisant vivre des êtres humains, légendaires ou mystiques.
- «Et au milieu des rives coule le temps ». C’est l’histoire dans l’Histoire avec un grand H, d’une esclave Véronique, qui a vraiment existé. Une petite saga en trois parties, les rives de Baduel, Entre 2 rives, et les rives du Lez. Trois générations se succèdent, les personnages évoluent autour et au milieu de faits historiques.
APINTY en est l’auteur.
- Puis viennent les écrits de Claire-Edmond ARNAUD :
-« Le don d’Elathée » est un conte fantastique. L’auteur entraîne le lecteur dans la forêt guyanaise, l’invite à contempler le fleuve Maroni, à découvrir un ancien village, et à pénétrer dans les profondeurs de l’âme humaine.
-« Le levain des prédateurs », psychodrame fantastique, dont le principal personnage, Owens Williams se trouve enchaîné dans sa solitude et sa folie.
- L’auteur, Michel COME, à travers 3 textes dévoile une de ses préoccupations constantes : l’eau.
- Le conte « Manman Dilo », bien évidemment est tiré ici de l’imaginaire guyanais, dans le registre traditionnel du conte, tandis qu’« Evanescence », laisse entendre que l’eau accompagne l’homme dans son existence comme marqueur du temps et accessoirement de son espace.
-« Maripasoula », c’est la réappropriation d’une cité de l’intérieur menacée par l’abandon, l’orpaillage sauvage et la pollution.
- Puis d’un tout autre registre, Michel Côme invite à découvrir à travers une sympathique fable « Le chevalier de onze heures » la naissance d’un amour.
« Fleur de mâle », est un clin d’œil à Priape.
- L’auteure Prisca GOURDON, à travers 3 œuvres, invite le lecteur à la suivre dans des mondes différents :
-« Nélia, la fille de Synéry » c’est un récit mystérieux où l’héroïne découvre à travers un voyage initiatique, un étrange pays en plein cœur de la forêt amazonienne.
-« Temps d’amour » : il y a un temps pour tout.
-« L’Evènement » : Une page importante de l’histoire guyanaise vécue par Mademoiselle C.
- Emilie TOCNEY-DARDE, présente sous forme de nouvelles, des anecdotes empruntées à la société guyanaise contemporaine.
-Dans « Tante Hilda » elle met en exergue l’une des facettes de la société guyanaise plurielle.
-« Mo lenbé » le titre contient toute l’histoire.
-« Le Maître des clous » et « Katamanssi » sont des sujets mythiques du cru.